Bonjour
Je vous propose au sein de vos clubs d'organiser des formations : "apprendre à ne pas l'ouvrir en présence de l'autorité".
Le printemps dernier également reçut une audite et plusieurs recommandations.
Disons que les vieux pilotes qui ont du vécu, ont doit expliquer aux jeunes que il ne faut pas trop donner d’explication. Les laisser pondre leur rapport et après s'organiser pour que cela soit fonctionnel. (par ce que donner suite au rapport il y a un coût qui souvent n'est pas absorbable par l'association, ni par la ville qui leur donne une occasion de fermer l'aérodrome.)
Exemple pour l'hiver on atterri dans le champs sur une piste parallèle à la piste asphalte, l'été on utilise également pour ceux qui préfèrent une piste en gazon. Au final j'ai enlever les balises de cette piste, mais l'été je coupe le gazon court sur une bande 50 pieds par 2500 pieds c'est plus une piste officiel, mais je ferais pas la police pour empêcher d'atterrir sur cette bande.
Comme de nombreux aérodromes ils gardent une bande pour les avions en ski.
Aussi si la piste asphalte se dégrade de trop fissures, ou craques il y aura la piste en gazon...
On a déjà assez de normes pour les réservoirs essence, date des boyaux, inspection annuelle de l’environnement, rapport de poids et mesures purge des réservoirs, mise à la terre, permis pour vendre du carburant, type de pistolet 100LL et jet A, embobineuse de fil de masse, faire des mesures des piquets de terre, voir à la dépression de la double parois des réservoirs, celui qui distribue le carburant doit aller suivre une formation de deux jours souvent nous sommes des bénévoles etc... Au final on mange tout le profit fait à la vente du carburant avec ces contraintes et la ville nous dit vous les riches pilotes augmentez le prix du carburant et de hangars.
André qui a été président bénévole pendant des années, bien que dans un champs et dans le nord au fond de la forêt on se casse pas le bonnet avec toutes ces normes qui changent à tous les ans.
André