Il faut lire le compte-rendu d'essais de Jacques NOETINGER dans Aviation Magazine n°310 novembre 1960, pour comprendre que l'arrêt du SUC 11 n'a rien à voir avec une quelconque dangerosité de cette version de machine. La vérité est ailleurs !
Je parlais du SUC 10 Courlis et non pas du SUC 11G super Courlis...
Jacques NOETINGER
Aviation Magazine n°310 novembre 1960
Sept vols à bord du F-WEVZ m'ont permis de retrouver, rénové et rajeuni, un avion à qui je dois sans doute le plus grand nombre de bons souvenirs aéronautiques.
En effet, ayant totalisé à bord du S.U.C. 10 plus de 750 heures de vol, c'est avec cet avion que j'ai rempli un peu plus du quart de mon carnet de vol ! Un si fidèle ami n'est pas de ceux que l'on oublie facilement-
Pendant des années, j'ai défendu cette machine. Pendant des années, j'ai cherché à prouver ses qualités et ses avantages. Elle avait malheureusement un handicap terrible : son moteur. Celui-ci me valut une bonne dizaine d'atterrissages de fortune, il coûta la vie à quelques amis chers, il finit par faire interdire de vol cette cellule assez exceptionnelle.
Dans son article NOETINGER, fait bien la distinction entre le SUC 10 et Le SUC 11, au sujet duquel Il écrit son article.