Sur le principe, je suis d'accord André.
Cependant, ce n'est pas comme ça que Jean Delemontez et Pierre Robin voyaient les choses dans les années 50.
Le coupe contact coté masse batterie est un montage d'usine. Mais les moteurs étaient alors équipés de génératrices DC et non pas d'alternateurs. Si j'ai bien compris ce que mon ami versé en électricité m'expliquait, c'est là que réside la différence.
Si tu ouvres le circuit sur un système avec géné, tu perds l'excitation. Donc la géné serait protégée en cas d'ouverture du circuit batterie et la main bus ne risquerait pas d'être exposée à des voltages déraisonnables.
Mais peut être ai je mal compris.
Par contre, ils (CEA) respectaient le principe d'architecture de la barre bus alimentée par les 2 sources : batterie et génératrice.
Je dis le "principe" car il n'y pas "physiquement" de barre bus, mais une nuée de fils qui se croisent.
Faut croire que les barrettes de cuivre étaient rares dans le dijonnais à l'époque