Bonjour
Pour avoir la traduction je viens d'apprendre quelques chose
Pourtant j'ai commencer avec un ordinateur DOS et les grosses disquettes ensuite les petites disquettes on percait un trou pour augmenté a 1,44
Pour ce qui est du pilotage cela ressemble beaucoup a ce que j'ai appris a Doncourt en 1962 , avec l'instructeur Jean Barbier l'instruction de base se faisait sur un Piper J3 le Solo autour de 10 heures ensuite on passait sur le Jodel D112 qui était plus facile et un peu plus vite pour faire le voyage . a cette époque on faisait pas la distinction entre roulette de queue ou roue avant, tu pilote c'est tout , le mécanicien Bourgeois faite ce que vous voulez avec les avions , mais ramener les en état de vol .
Les plus vieux doivent se rappeler que c'était la méthode St-Yan .
J'ai passé ma licence en même temps que Jean Zilio ceux qui ont vue son livre il en parle souvent de Doncourt .
Photo de 1962 Jean Barbier Zilio et moi même a 17 ans que du bon temps ou l'administration était souple simple on volais dans un esprit de famille ..
La différence en Amérique c'est souvent des longues pistes et les pilotes rentre avec du moteur atterrissage sur le train principale
En général dans les champs ou pistes caillouteuse , c'est au décollage juste soulager la roue arrière , tu regarde dehors les obstacles proche , tu attend que cela décolle, tout seul ,tu le laisse pas monter , tu prend de la vitesse , ensuite pente de monté ,visualisé par le capot horizon .
Atterrissage vent de travers (plus facile avec un Jodel , que avec un Citabria ,Champion , Piper J3 )
Avec l'âge tu vas au plus facile ,descente en crabe ,avec un peu de moteur , proche de terre tu le positionne dans l'axe et manche dans le vent , tu le pose sur une roue , ensuite sur les deux , tu attend que la vitesse baisse pour laisser tomber la roulette .
Le problème c'est pas atterrir quand il vente fort , c'est taxier pour te rendre a ton point attache , si par mégarde le vent soulève une aile , immédiatement un coup de moteur palonnier a fond pour le placer nez au vent , si tu a tardé lorsque l'aile se soulève de trop c'est passage sur dos . Pour taxier vent fort en arrière , rouler lentement , manche en avant , rendu en bout de piste faire un 180 ne pas se placer en attente avec une aile exposer au vent de travers.
C'est le vol sur ski qui est plus critique vent de travers ,pas rare de voir des avions passer sur le dos lorsque qu'il vente fort
lorsque on tourne et que un ski s'enfonce dans la neige que l'avion veut pas avancer , que le vent soulève une aile .
Ce qu'il faut savoir sur les Jodel le train atterrissage est conçut pour éviter de faire des dommage au longeron. Bien utilisé , il est suffisamment robuste , pour en avoir fait usage dans des champs et endroits peu recommandables. C'est en usage sur ski lorsque on tourne l'avion en le poussant pas la queue qu'il se fait une torsion des jambes , pincement des roues (bien visible avec des skis
Aussi les pistons guide aluminium , prenne du jeux , dans les jambes et en été sur des piste asphalte il se fait du Shimy dans le train avant , sur le gazon cela parait pas .
Bien que pour ce qui est du pilotage je relate juste mon vécus , la plupart des pilote de Jodel savent tout cela ( a part sur les skis )
Pour le train atterrissage je vais aller sur le sujet train .
André